La déclaration du Ministère français des Affaires étrangères en date du 26 novembre 2024, affirmant que Netanyahu bénéficie d’une immunité face à la décision de la Cour pénale internationale (CPI) a été perçue comme un geste politique. Alors que la France s’était engagée à « appliquer vigoureusement ses obligations » vis-à-vis des mandats d’arrêt émis par la CPI contre Netanyahou et Gallant, ce revirement de position par la France peut-il avoir des conséquences au plan du respect du Droit international ?
Julien MARTIN répond aux questions de L’Orient-Le Jour sur les enjeux de ce revirement.